Les Tours de Mimi
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Géographie :

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La péninsule mesure approximativement 300 km de long et 250 km de large. Les côtes sont bordées par des récifs coralliens à l’est, alors que mangroves et marécages se développent au nord et à l’ouest.
Son altitude s’élève graduellement de la côte caraïbe vers l’intérieur des terres, dépassant rarement 50 mètres.

La région est un vaste plateau calcaire, aussi plate qu’une galette, avec quelques petites collines çà et là mais sans montagnes. Le relief le plus élevé est la « sierrita de Tical », dans le sud de la région, qui a une altitude un peu inférieure à 200 m.
 
Le climat du Yucatán est tropical avec des averses annuelles de 700 mm dans le nord-ouest et de 1 700 mm sur l’île de Cozumel. 90 % des précipitations se réalisent durant la saison des pluies de juin à octobre. Elles sont plus importantes dans le sud où la forêt dense se développe.
 
Malgré des pluies assez abondantes, la péninsule du Yucatán n’a pas de véritables rivières, hormis quelques ruisseaux côtiers, dont deux sont notables : le rio Candelaria qui se jette au sud-ouest dans le golfe du Mexique, et le rio Hondo, au sud-est.
L'eau coule plûtot par des voies souterraines qui perforent le sous-sol de cette vaste portion calcaire du sud-est mexicain, en créant des cénotes, typiques cavités noyées. Cette particularité hydrographique, associée au climat, entraîne parfois des sécheresses dans le nord-est de la péninsule.

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Culture Maya :

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C'est une des plus anciennes civilisations d'Amérique : ses origines remontent à la préhistoire et les premières constructions mayas ont été datées du IIIe millénaire av. J.-C.
Le monde ne savait presque rien des Mayas il y a deux cents ans. La forêt avait repris ses droits sur la plupart de leurs cités, et, peu après la conquête espagnole, au XVIe et XVIIe siècles, les prêtres européens avaient brûlé la quasi totalité des livres en écorce de figuier laissés par les Mayas. Seuls quatre d'entre eux ont été retrouvés.

Les premiers explorateurs à approcher les vestiges de la civilisation maya au XIXe siècle ont contribué à lui forger une image romantique mais bien différente de la réalité : « qui n’a pas entendu parler, par exemple, d’un ancien Empire maya, véritable âge d’or durant lequel un peuple laborieux et éminemment pacifique se serait adonné, dans le calme de ses cités protégées par la forêt dense, à la seule contemplation des astres ? ». De nos jours l’évolution des connaissances a permis de renverser cette vision simpliste et sans nuance. Car si les anciens Mayas étaient bâtisseurs, artistes et savants, ils n’en étaient pas moins résolument guerriers. Du fait de leur organisation politique en cités rivales, la comparaison des Mayas classiques avec les cités grecques de l’époque classique ou avec les cités italiennes de la Renaissance n'est pas inappropriée.
​​Pour des raisons à la fois environnementales et historiques, la connaissance et la compréhension de cette civilisation sont encore très fragmentaires. De larges zones d’ombre subsistent toujours malgré les efforts entrepris depuis sa redécouverte au XIXe siècle.
 

L’aire civilisationnelle maya recouvre dans sa plus grande partie des terres situées en milieu tropical (les Basses-Terres du sud). Cet environnement sauvage et peu hospitalier n’a pas aidé à la conservation des ruines léguées par les anciens Mayas. Bien au contraire, la jungle envahissante a systématiquement repris possession des espaces dégagés. Les racines s’immisçant entre les blocs, la poussée végétale a fait exploser les bâtiments, réduisant souvent temples et palais en amoncellements de pierres. Les Hautes-Terres et les Basses-Terres du nord ont globalement été plus épargnées par ce phénomène. De surcroît le climat chaud et humide a semblablement contribué à faire disparaître les constructions en matériaux organiques et autres objets périssables qui auraient pu considérablement nous renseigner.
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​Pendant longtemps et jusqu’à l’actualité la plus récente, le pays maya a été secoué par des troubles politiques qui ont régulièrement perturbé et ralenti le travail des archéologues. L’histoire agitée de l’Amérique latine dans la deuxième moitié du XXe siècle a eu des répercussions dans le pays maya. La guérilla marxiste et les revendications des peuples mayas contemporains n’ont pas facilité l’exploration et la fouille des sites archéologiques. Toutefois la remise du prix Nobel de la paix à Rigoberta Menchu Tum a relancé les espoirs de paix. Le Mexique tente aujourd’hui de réhabiliter son héritage précolombien et un musée consacré à la civilisation maya a été créé à Chetumal.

De plus il faut prendre en compte que de nombreux et précieux témoignages ont été irrémédiablement perdus lors de la conquête espagnole. Suivant les conquistadores et cautionnant ainsi leur action, les missionnaires chrétiens ont cherché à éradiquer toute trace de culte païen parmi les Amérindiens. Les archives mayas, les fameux codex recelant des données inestimables concernant l’histoire et la science de la civilisation maya, ont été détruites lors d’autodafés comme celui de Maní en 1562
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