Région et Civilisation du Yucatán
La région de la péninsule du Yucatán, d'environ 300 km de long et 250 km de large, est un vaste plateau calcaire reconnu pour ses paysages uniques et sa biodiversité exceptionnelle. Ses côtes sont bordées de récifs coralliens spectaculaires à l'est, tandis que des mangroves luxuriantes s'étendent au nord et à l'ouest, jouant un rôle essentiel dans l'écosystème local. Le relief de la péninsule est principalement plat, culminant à une altitude modeste de 200 mètres dans la Sierrita de Tical, située au sud. Ce terrain particulier est traversé par des réseaux souterrains d'eau qui, en l'absence de rivières de surface, donnent naissance aux cénotes, des gouffres d'eau douce qui ont joué un rôle central dans la culture et la survie des anciens Mayas.
Le climat tropical de la région est marqué par des pluies abondantes, particulièrement entre juin et octobre, favorisant une végétation dense. Cependant, des périodes de sécheresse peuvent survenir, accentuées par l'absence de rivières de surface.
Berceau de la fascinante civilisation maya, née vers le IIIe millénaire av. J.-C., la péninsule abrite encore aujourd'hui de nombreux vestiges de cette culture avancée. Parmi eux, des cités impressionnantes, autrefois prospères, sont désormais en grande partie englouties par la jungle, offrant un témoignage poignant de la relation entre l’homme et son environnement dans cette région unique.
La région de la péninsule du Yucatán, d'environ 300 km de long et 250 km de large, est un vaste plateau calcaire reconnu pour ses paysages uniques et sa biodiversité exceptionnelle. Ses côtes sont bordées de récifs coralliens spectaculaires à l'est, tandis que des mangroves luxuriantes s'étendent au nord et à l'ouest, jouant un rôle essentiel dans l'écosystème local. Le relief de la péninsule est principalement plat, culminant à une altitude modeste de 200 mètres dans la Sierrita de Tical, située au sud. Ce terrain particulier est traversé par des réseaux souterrains d'eau qui, en l'absence de rivières de surface, donnent naissance aux cénotes, des gouffres d'eau douce qui ont joué un rôle central dans la culture et la survie des anciens Mayas.
Le climat tropical de la région est marqué par des pluies abondantes, particulièrement entre juin et octobre, favorisant une végétation dense. Cependant, des périodes de sécheresse peuvent survenir, accentuées par l'absence de rivières de surface.
Berceau de la fascinante civilisation maya, née vers le IIIe millénaire av. J.-C., la péninsule abrite encore aujourd'hui de nombreux vestiges de cette culture avancée. Parmi eux, des cités impressionnantes, autrefois prospères, sont désormais en grande partie englouties par la jungle, offrant un témoignage poignant de la relation entre l’homme et son environnement dans cette région unique.
Après la conquête espagnole, de nombreux écrits ont disparu, ne laissant que quatre codex. Les recherches modernes révèlent une civilisation plus complexe : les Mayas étaient des guerriers organisés en cités rivales, semblables à celles de la Grèce antique. Bien que la végétation et l'humidité aient dégradé de nombreux sites, beaucoup restent encore à découvrir dans les zones les plus inaccessibles du sud.
Le calendrier maya est cyclique, se répétant tous les 52 ans. Le compte long débute avec le jour 13.0.0.0.0 4 Ajau et 8 Cumkú (en notation maya), ce qui correspond, selon la corrélation généralement acceptée, à la période du 1er au 11 août 3114 av. J.-C. dans le calendrier grégorien. Cette structure temporelle souligne l'importance des cycles et des rituels dans la culture maya, reflétant leur compréhension unique du temps et de l'univers.
Le calendrier aztèque, similaire à notre calendrier occidental, est un système de 365 jours composé de 18 mois de 20 jours chacun, auquel s'ajoute un dernier mois court de cinq jours. Le terme "Haab" signifie "année" en maya, et ce calendrier solaire des Mayas reflète leur compréhension du temps et des cycles naturels. Il était utilisé à des fins agricoles, religieuses et civiles, soulignant l'importance des saisons et des festivités dans leur culture.
Les numéros mayas, utilisés dans leur système vigésimal (base 20), étaient essentiels pour la comptabilité, les calendriers et les rituels. Composés de points, de barres et de coquilles, chaque symbole avait une signification précise. Ce système fascinant reflète la complexité de la culture maya, alliant sciences, astronomie et art.
Les numéros mayas, utilisés dans leur système vigésimal (base 20), étaient essentiels pour la comptabilité, les calendriers et les rituels. Composés de points, de barres et de coquilles, chaque symbole avait une signification précise. Ce système fascinant reflète la complexité de la culture maya, alliant sciences, astronomie et art.